>>> Μην με παρεξηγήσετε >>> αλλά ο τρόπος παρουσίασης από τα ΜΜΕ >>> του πολέμου στην Ουκρανία και των επιπτώσεών του >>> θυμίζει τηλεοπτική εκπομπή, με τοποθέτηση προϊόντος >>> και το προϊόν είναι το αμερικανικό LNG >>> το "καλό", το ακριβό, το αμερικάνικο LNG....
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Τετάρτη 2 Μαρτίου 2011
ΔΗΜΟΚΡΑΤΙΚΟΣ ΠΥΡΕΤΟΣ ΣΤΑ ΑΡΑΒΙΚΑ ΚΡΑΤΗ
• Violences en Iran
Des heurts ont éclaté mardi entre manifestants et forces de l'ordre déployées en nombre sur les principales places et artères de Téhéran. Ces affrontements ont notamment eu lieu autour de l'université, où la police a utilisé des gaz lacrymogènes. Plusieurs appels avaient été lancés pour soutenir les deux leaders de l'opposition, Mir Hossein Moussavi et Mehdi Karoubi. La justice iranienne a démenti mardi que l'ancien premier ministre et l'ancien président du Parlement aient été emprisonnés, ce qu'affirment leurs proches, sans nouvelles des deux hommes depuis plusieurs jours.
• Cinq gouverneurs limogés au Yémen
Le cœur de la capitale yéménite, Sanaa, a été bloqué mardi par des dizaines de milliers de manifestants, qui ont notamment scandé: «Le peuple veut la chute du régime, le peuple veut le départ d'Ali
Abdullah Saleh.» L'influent prédicateur Abdel Majid Zendani, soupçonné de soutenir le terrorisme, a harangué la foule, plus nombreuse que jamais, en affirmant qu'il «soutenait les revendications des jeunes». Devant des journalistes, le président Saleh, un allié important des États-Unis contre al-Qaida, a affirmé que les soulèvements qui agitent le monde arabe «sont une tempête orchestrée de Tel-Aviv, sous la supervision de Washington». Il a limogé les gouverneurs de quatre provinces dans le Sud et d'une cinquième dans l'ouest du Yémen.
• Une constituante en Tunisie
Le nouveau premier ministre tunisien, Béji Caïd Essebsi, aurait accepté la réunion d'une Assemblée constituante, idée phare du Conseil de la protection de la révolution, qui regroupe 14 partis politiques, l'Union générale des travailleurs tunisiens et plusieurs ONG. Cette constituante promulguerait une nouvelle Constitution avant l'organi¬sation de prochaines élections. Deux nouveaux ministres, celui de l'Enseignement supérieur et celui du Développement régional, ont démissionné mardi. De son côté, le courant islamiste interdit Ennahda a été autorisé à reformer un parti politique.
• Oman à son tour dans la tourmente
Des blindés ont dispersé à Sohar des manifestants qui bloquaient le port et une route conduisant à la capitale, Mascate, à 200 km plus au sud, alors que des petits rassemblements ont eu lieu dans d'autres villes d'Oman pour réclamer des emplois, des hausses de salaires et le limogeage de plusieurs ministres. Le gouvernement, qui s'attendait à une quatrième journée de manifestations, avait déployé des troupes et des véhi¬cules militaires autour de la capitale et le long de la frontière avec les Émirats arabes unis.
• Bras de fer chiites-sunites à Bahreïn
Des milliers de manifestants ont de nouveau défilé à Manama, affirmant l'unité nationale du petit royaume de Bahreïn, où la minorité sunnite côtoie la majorité chiite. L'opposition a jusqu'ici refusé d'engager un dialogue national proposé par le roi, Hamad ben Isa al-Khalifa, et la dynastie sunnite, au pouvoir depuis plus de deux cents ans. L'opposition demande en préalable la démission de tout le gouvernement.
• Un calendrier électoral en Égypte
Une réforme constitutionnelle sera soumise à référendum le 19 mars en Égypte, en prélude à des élections législatives en juin et à une présidentielle six semaines plus tard, annonçait-on mardi au sein de l'armée, au pouvoir depuis la chute du président Hosni Moubarak le 11 février dernier.
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